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Exporter son vin en Espagne ou en Amérique latine : erreurs à éviter

  • armelle745
  • 9 oct.
  • 1 min de lecture

Exporter son vin vers les marchés hispanophones est une formidable opportunité : plus de 600 millions de consommateurs parlent espagnol à travers le monde. Mais pour réussir, il faut éviter certaines erreurs fréquentes que commettent de nombreux producteurs français.

Voici les 5 principales erreurs à ne pas reproduire :


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1 - Penser que “l’Espagne, c’est comme la France”

Les consommateurs espagnols ou latino-américains ont leurs propres goûts, références et habitudes d’achat. Exemple : en Espagne, le vin local domine largement les rayons ; il faut donc se différencier intelligemment, pas se comparer.


2 - Sous-estimer les différences culturelles

En Amérique latine, la relation humaine prime sur la rapidité commerciale. Les rendez-vous sont plus informels, la confiance se construit sur le long terme. Adapter son attitude et sa communication est aussi important que la qualité du vin.


3 - Traduire ses supports mot à mot

Une fiche technique traduite littéralement ne suffit pas : certaines expressions œnologiques n’ont pas le même sens. Il faut adapter le discours au marché, au vocabulaire local et au ton commercial.


4 - Ne pas investir dans la communication locale

Les importateurs et distributeurs cherchent des partenaires qui comprennent leurs codes. Un site web, une plaquette ou même un profil LinkedIn en espagnol professionnel font toute la différence.


5 - Manquer de suivi après la première commande

Beaucoup d’exportations échouent non pas à cause du produit, mais d’un manque de communication post-vente.


Un message en espagnol, une relance personnalisée ou une invitation à une dégustation virtuelle entretiennent la relation.

 
 
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